Êtes-vous préoccupé par un enfant alcoolique?
Essayer de faire face à l’abus d’alcool d’un fils ou d’une fille est l’un des défis les plus difficiles de la vie. Leurs problèmes deviennent les nôtres, l’objectivité ne semble plus exister. Cela devient un cycle de crise et de sauvetage perpétuel. Nous payons pour les factures médicales, les séjours au centre de traitement, les honoraires d’avocat, le loyer, la nourriture et les voitures – souvent au détriment de notre propre sécurité financière. Il est difficile de dire non en raison de la peur sous-jacente que, d’une façon ou d’une autre, nous avons causé le problème.
Beaucoup de gens viennent à Al-Anon pour le soutien et la compréhension dont ils ont besoin pour gérer cette situation déconcertante.
Tirer un trait sur mon passé
Avant d’adhérer à Al-Anon, j’étais camouflée sous tant de couches de déni que m’asseoir dans une pièce et
Je croyais que je l’aidais
J’ai adhéré à Al‑Anon parce que j’avais un enfant alcoolique. Je me sentais malheureux parce que mon fils
Peut-être que je n’étais pas seul
Je me sentais seul, isolé et emprisonné. J’avais des pensées que personne ne pourrait comprendre. Je me sentais
J’en arrive toujours à une nouvelle compréhension
La première personne alcoolique dans ma vie était ma mère. Enfant, je n’avais jamais entendu parler de AA,
Je visais la perfection
J’ai toujours été solitaire, indépendante et au contrôle de ma vie. J’ai élevé deux enfants toute seule et
Mon fils était aux prises avec l’alcool et la drogue
Ma première réunion Al-Anon m’a ouvert les yeux et j’ai réalisé qu’il y avait d’autres personnes qui, comme
Nous partageons… nous cheminons vers le rétablissement
Quand j’étais enfant, j’ai toujours su que quelque chose n’était pas normal chez moi, mais je ne parvenais
Pourquoi je dirige mes clients vers Al-Anon
La dernière fois que j’ai mentionné Al-Anon, c’était il y a quelques semaines de cela, quand j’ai parlé
Ces gens sont exactement comme moi!
À mes premières réunions Al-Anon, j'éprouvais de la colère. Un tribunal m’a ordonné d’aller aux réunions et je
Al-Anon : une approche délicate
C'est une journée typique au cabinet. Je prépare le matériel pour le groupe de soutien de prévention de
Ce n’est pas votre faute; vous n’en êtes pas la cause!
La première fois que j’ai entendu parler d’Al-Anon, j’étais à l’hôpital. Une travailleuse sociale m’a dit : « Ce n’est
Un psychiatre specialiste des dependances recommande Al-Anon
Par Dr Jeffrey D. Roth, FASAM (Société américaine de la médecine des dépendances) Psychiatre spécialiste des dépendances, Chicago,